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🏫 Bye bye All-Girl : coup dur pour le cheerleading universitaire (S3.5)

Épisode du 30 septembre 2025


Invitée :  Karolane Landry - Entraîneure-chef et responsable du programme des Carabins de l’Université de Montréal (double championne du monde) et entrepreneure (fondatrice de KAgency Marketing).


Entre rumeurs et réalités, on clarifie la nouvelle qui a secoué le milieu : l’interruption des équipes All-Girl universitaires pour la saison 2025–2026. Avec Karolane Landry, on démêle les catégories RSEQ, l’impact concret sur les programmes (Carabins, Sherbrooke, etc.), les pertes pour les étudiantes-athlètes… et surtout la lueur d’espoir : ce n’est pas un adieu, mais une pause, conditionnelle à la création d’une vraie ligue.



📊 Cheerleading universitaire : comprendre le contexte

Au printemps, le RSEQ a revu toute la structure du sport universitaire. Les disciplines ont été réparties en trois catégories : les sports spectacles, ceux qui mènent à un championnat reconnu (national ou plus), et les sports limités à un championnat provincial.

Le cheerleading universitaire COED a été placé dans la troisième catégorie. Faute de ligue All-Girl officielle et stable, les équipes universitaires All-Girl n'ont pas eu le même traitement. Dans un contexte de crise budgétaire, les universités ont donc choisi de mettre ce volet en pause.


💔 Impact pour les programmes et les athlètes

Cette décision réduit fortement les places offertes aux étudiantes. Là où une équipe All-Girl pouvait accueillir jusqu'à 30 athlètes (et même plus incluant les réservistes), il n’en reste qu’une vingtaine à une trentaine dans l’équipe COED. Plusieurs jeunes, découragées, ont choisi le civil… ou tout simplement d’arrêter.

Perdre le statut universitaire, c’est aussi dire adieu à des services essentiels : installations, suivi médical, préparation physique. Le modèle étudiant-athlète, qui faisait la force du cheerleading universitaire, se fragilise.


✨ Vérité essentielle : ce n’est pas la fin

Karolane insiste : il ne s’agit pas d’un adieu, mais d’une interruption. La condition est claire : réunir au moins quatre universités prêtes à aligner une équipe All-Girl de façon stable.

Si ce défi est relevé, une ligue RSEQ pourra renaître et redonner sa place au All-Girl universitaire.


💡 Et maintenant, que faire ?

Le retour passera par un travail collectif. Le retour du All-Girl niveau 7 peut passer par plusieurs étapes avant qu'on le revoit comme il était là. Les universités peuvent renforcer leur recrutement et envisager des équipes de niveau 4 comme tremplin vers le niveau 7.

Ce qui est difficile, c'est de mettre tout ce poids sur les épaules des entraîneurs. De leur côté, les athlètes et parents doivent croire en leur place et ne pas se décourager aux sélections.


Le cheerleading universitaire traverse une épreuve, mais rien n’est perdu.Cette pause rappelle surtout l’importance d’unir les forces pour bâtir une ligue RSEQ stable ou simplement une ligue universitaire.

Avec de la volonté et de la collaboration, l’All-Girl universitaire peut revenir plus fort.



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